Cet article a été publié dans le Daily Brugueule en Septembre 2016 Vendredi 9 septembre à 18h30, l’amphithéâtre de l'École Nationale Supérieure de Biologie (ENSB) de Nancy accueillera la présentation de la thèse d’Emma Léfik, la nouvelle docteure en sciences biologiques et super-héroïques, sur L’influence biologique des Dieux Grecs sur les êtres vivants. Il s’agit d’une collaboration entre l’ENSB et le musée Saint-Raymond de Toulouse. En effet, cette thèse mêlant science et cultures latiniste et helléniste a été encadrée par les docteurs Julien Pirello, Thierry Liboz, Pierre Maury, Didier Magnan de l’ENSB et les professeurs Anne Dattler et Claire Bécard du musée Saint-Raymond de Toulouse. Le directeur de l’école, Monsieur Jean Mousseline, a souhaité organiser au pied levé cette conférence en réaction à l’actualité. En effet, la preuve récente de l’existence des Dieux de la Mythologie apportée par l’arrivée au sein des Protecteurs de Nayçeune, Dieu Grec de la Badasserie, entraîne déjà des bouleversements dans la perception du monde qu’ont les scientifiques et est en train de donner naissance à une myriade de nouvelles approches des sciences telles que nous les connaissions. Les futurs scientifiques se doivent donc d’être formés sur ces bouleversements dans l’optique de favoriser la pertinence de leurs futurs travaux de recherche. « Ces dernières années, nos recherches ont pu montrer avec certitude que les escapades amoureuses de Zeus avec des humains ont permis de créer les premiers super-héros. D'autres exemples culturels me viennent en tête. Je pourrais vous parler du Dieu Apollon qui aurait inspiré les grands poètes et musiciens ou de la muse de la poésie lyrique qui aurait chuchoté à l’oreille d’Homère lorsqu’il écrivait l'Iliade et l’Odyssée. Ces découvertes ouvrent de nouvelles portes dans la compréhension de notre Histoire et de l’influence culturelle et surtout génétique que ces véritables Dieux ont sur nous. » a révélé le Docteur Léfik au DailyBrugueule. Le rêve ultime de la scientifique serait de pouvoir continuer ses recherches en Grèce, dans la zone que les Dieux ont interdite aux mortels. Selon Léfik, elle renfermerait une faune et une flore jamais vues par l’Homme et qui pourraient révolutionner la médecine moderne. « Le mythe de Panacée parle d’une plante, la Marianis Sativa Medicus, qui serait l’équivalent de la Marijuana pour les Dieux, et qu’ils utiliseraient uniquement récréativement lors d’orgies, mais qui, ingérée par un être humain à des doses contrôlées pourrait soigner des plaies ou autres maladies graves. » L’expédition qu’elle souhaite mener, aux côtés de ses laborantines Anaïs Toire et Morgane Bonne-Amie, est d’ores et déjà préparée scrupuleusement. Elle aurait également mis au point une convention de nommage pour toutes leurs possibles découvertes qui est en attente de validation par leurs supérieurs. Mais pour l’instant, même après plusieurs demandes, l’entrée en ce lieu sacré lui est toujours prohibée. Cependant, l’ouverture des relations entre Hommes et Dieux aux Nations Unies pourrait lui offrir une opportunité d’y accéder. De plus, elle pourrait obtenir des financements conséquents pour lancer des expéditions. En effet, le succès de ses recherches lui a déjà permis de débloquer un certain nombre de bourses. Plusieurs entreprises, dont Aurnitech, Johnson & Johnson et Sanofi, ont montré de l’intérêt pour son travail et souhaiteraient l’engager. Article par Nadine Leeds
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AuteurJe suis Christophe Pantel étudiant en sciences du numérique et créateur amateur. J'ai fondé la chaîne YouTube Tales Of Imagination que je tiens avec mes deux meilleurs amis. Archives
April 2023
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